Tous les jours, ce Français roule dans la camionnette de Scooby-Doo
Un habitant de la ville de Pamiers en Ariège a construit une réplique exacte de la fameuse Mystery Machine de la série animée Scooby-Doo. Et forcément, ça attire les regards.
“Ouh Sammy !“. Depuis 1969, et jusqu’à aujourd’hui, les aventures de Scooby-Doo et ses amis (Fred, Vera, Sammy et Daphné) rythment les matinées de millions d’enfants à travers la planète. Des souvenirs d’enfance qui peuvent parfois durer, même à l’âge adulte. En Ariège, plus précisément à Pamiers au sud de Toulouse, un homme fait sensation quand il monte à bord de son véhicule.
Et si Olivier Limoges, 47 ans, ne passe pas inaperçu, c’est parce qu’il roule à bord de la Mystery Machine, le mini-bus mythique de la série animée. Jantes et fleurs oranges, couleur bleu turquoise et stickers représentant les personnages de Sammy et Scooby : l’engin ressemble comme deux gouttes d’eau à la vraie camionnette. « Ici, tout le monde me connaît. Et tout le monde sait que je suis fou », plaisante Olivier au journal Ouest-France.
Un gros jouet pour adulte. Pourtant, Oliver n’est pas un fan inconditionnel de la série animée américaine. C’est seulement quand un client lui apporte un vieux van avec 175 000 kilomètres au compteur, et donc destiné à la casse, que ce commercial dans une concession automobile prend la décision de le transformer en Mystery Machine. « C’est vraiment un trip qui n’était pas prévu. Comme on dit, c’est l’occasion qui fait le larron », explique l’homme de 47 ans. Oliver bosse sur la mécanique avec l’aide d’amis, deux copines tapissières s’occupent des sièges et en quelques mois, le véhicule est retapé. « C’est sûr qu’elle attire l’œil ! », confesse l’Ariégeois.
À bord de cette Mystery Machine qui ne dépasse pas les 80 km/h, Olivier se rend au travail ou amène sa fille à l’école. À l’arrière, il y a un espace pour dormir. Vu l’état de l’engin, Olivier ne prévoit pas de partir en road-trip avec; mais il pense qu’il pourra faire quelques trajets courts pour aller à la mer ou à la montagne. Pour partir chasser les fantômes, il faudra surement tenter la conversion électrique.
Crédits photos : Facebook Olivier Limoges
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